FEMME / HOMME
NOTRE IDENTITÉ SEXUELLE EN QUESTION
Fille ? Garçon ? L’identité sexuelle est-elle seulement fonction de notre sexe biologique ? Continuer la lecture
Fille ? Garçon ? L’identité sexuelle est-elle seulement fonction de notre sexe biologique ? Continuer la lecture
Extrait des propos des participants, classés par thèmes.
Un grand merci à tous !
Besoins et attentes des parents
« Y a-t-il un seul enfant au monde qui ne se conforme pas aux besoins des parents pour être aimé et ne pas être abandonné ? »
« S’adapter, est-ce que cela signifie s’adapter au désir conscient ou inconscient des parents ? Une mère peut avoir le sentiment que l’enfant ne répond pas à son désir conscient. Ce n’est pas pour autant qu’il ne répond pas à son besoin inconscient. »
Le Café Psy : « Le bébé n’a pas d’autre choix que celui de s’adapter, mais c’est une question de curseur. Face à des parents qui transmettent trop leurs besoins aux enfants, la psychanalyste Alice Miller développe le concept du « témoin lucide » : un membre de l’entourage – grand-mère, oncle, ami de la famille – qui apporte à l’enfant le regard inconditionnel dont il a besoin. La mère n’est pas l’unique référent de l’enfant. » Continuer la lecture
Aujourd’hui, nous vous proposons de regarder du côté de votre enfance, des éventuels manques que vous avez pu ressentir, de la façon dont vous vous êtes adaptés aux demandes de vos parents peut-être au risque de vous perdre, et de comment, devenu adulte, vous gérez vos relations aux autres à la lumière de cette relation originelle. Parce que l’enjeu des premières années de vie, c’est de faire sa propre connaissance. Continuer la lecture
Rien de plus dépendant qu’un nourrisson. Alimentation, propreté, développement de sa santé, de son intelligence, de sa vie émotionnelle, et surtout découverte du monde et de lui-même, il n’a d’autre choix que de s’abandonner en confiance à ceux qui s’occupent de lui. Et pour s’épanouir, l’enfant a besoin d’être aimé. Inconditionnellement. Continuer la lecture
Compte tenu du sujet, il nous a semblé important de préciser par un « H » lorsque c’est un homme qui prend la parole.
Qu’est-ce qu’une « bonne mère » ?
« Le premier critère pour être une bonne mère, c’est de savoir ce qui est bon pour l’enfant. »
« J’ai 46 ans, je ne suis pas mère. J’ai avorté trois fois. Je me suis dit que j’aurais été une mauvaise mère, je ne m’en suis sentie capable qu’à 40 ans, trop tard. »
H : « On parle toujours de la mère nourricière. Dans les années 60, les médecins professaient qu’il ne fallait pas trop nourrir les bébés. Ma mère m’a raconté que, petit, je hurlais tout le temps. Je crois que j’étais simplement affamé. Historiquement, nous sommes la seule génération d’enfants affamés. Ma mère est-elle coupable ? Non. Elle était pédiatre, elle s’est soumise aux injonctions de la médecine. » Continuer la lecture
Préambule
Cette session du Café Psy ne s’adressait pas uniquement aux mères biologiques mais à toute personne qui occupe cette fonction maternante dans la continuité, voire à certains pères qui s’investissent autant que la mère, notamment au niveau des soins et de l’attention quotidienne envers leurs enfants.
Notre génération de mères, celles qui ont entre trente et cinquante ans, s’inscrit dans un contexte social particulier et inédit. Un carrefour où toutes les valeurs se sont renversées. Nos parents ou nos grands-parents, c’est à dire, dans tous les cas, des proches qui ont marqué notre enfance, ont grandi dans une société où la morale et la religion était encore très puissantes, où l’on ne divorçait pas et où la seule contraception était l’abstinence. Alors que nous-mêmes, voire déjà nos propres parents, avons vécu les révolutions féministes et sexuelles. Continuer la lecture
« Serai-je une ‘bonne mère’ ? » Doutes, peur, inquiétude… dès l’annonce d’une grossesse, la joie se teinte d’un nuage d’anxiété, pouvant aller jusqu’à l’angoisse. Une ombre qui étreint les mères tout au long de la gestation puis, au fil des jours, au côté de leur enfant. Continuer la lecture
« La famille, c’est un champ de bataille. L’important, c’est de le savoir avant d’y aller. »
« Moi je suis celle qui organise tout. Quand je ne le fais pas, je deviens celle qui n’organise rien. » Continuer la lecture
Jeudi dernier a eu lieu le lancement du Café Psy. Voici la présentation du premier thème, autour duquel les échanges ont été riches, sincères et de qualité.
A l’approche des fêtes, nous entendons nos patients, nos amis, nos collègues se plaindre des fêtes à venir. Il semble régner un climat contrasté entre la tentation – et l’injonction – de la réjouissance, et la survenue d’une certaine souffrance, ou à tout le moins des signes, des mots et des expressions qui s’apparentent à la souffrance. Continuer la lecture
Bientôt les fêtes ! Le sapin, les cadeaux, la dinde… et toute la famille réunie. On s’en réjouit, on s’en inquiète. On y court ou on s’y traîne.De quoi sont donc faits ces sentiments complexes qui se rejouent autour des tables de réveillon ? Continuer la lecture